mardi 31 juillet 2012

Récapitulatif des Photos de Juillet !


Nous y voilà, le mois de juillet touche à sa fin. Nouvelle à la fois extrêmement joyeuse, annonciatrice des deux-tiers du stage effectués et de la perspective de passer le dernier mois SANS l'atroce collègue insupportable qui s'en va déplacer ses énooooormes chevilles gonflées à la pompe par son ego surdimensionné ailleurs. Joyeuse aussi parce qu'il ne reste désormais plus que trois jours à attendre avant de partir en week-end, retrouver ma famille et assister Au Concert de l'année. Mais pour moi cela veut également dire que dans treize jours, Cornélius s'en va, et ça... Je ne vais pas en parler maintenant, vous boufferez déjà assez de mes états d'âme de coeur brisé dans les jours qui suivront.

Toujours est-il que chose promise, chose due : voilà le récapitulatif de touuuutes les photos du jour du mois de juillet, celles que j'ai déjà postées dans mes précédents billets, sur lesquelles je ne reviendrai pas, comme celles que j'ai oubliées (en général parce qu'elles ne m'inspiraient pas plus que ça, et donc en général elles ne sont pas de moi - vous allez direct le remarquer de toute façon). Attention, marathon de photo juillesque, vous êtes prêts ? Ready, set... GO !


 1. Self-Portrait : vous l'aurez deviné, votre serviteuse en photo.
Enfin, un bout de bibi. Et de mon zoublime tatouage, en sus.
Vraiment un petit bout.


2. Busy : j'ai choisi la working girl de base, parce que ça me représente
très très bien, moi, mon hyperactivité et notre éternelle recherche de la perfection !



3. Best part of your day : indéniablement ce moment, le soir,
où je me blottis dans mes draps et contre Cornélius...


4. Fun : Again Joey Graceffa, le vlogueur clownesque et hilarant qui anime
toutes mes pauses déjeuner !


5. On the floor : mon armée chaussuresque déjà évoquée


6. Chair : faite de mes mimines en sus !


7. Garden : le mini-potager que je tente d'entretenir tant bien que mal
et qui souffre un peu de cet été parisien pourri (et pas du tout de ma nullité en tant que jardinière ! U.u)


8. Lunch : ou plutôt brunch, celui d'un certain dimanche matin,
remember ?


9. Big : au moins cette fois je suis sûre que tout le monde comprendra
la référence !


10. Your favourite color : illustrée par des tabourets de bar, un coussin
et mon vernis en l'occurence, mais qui s'immisce en vérité
bien plus dans mon intérieur !


11. Letter : mon V de la Victoire ! (Comment ça victoire de quoi ?)


12. Texture : si vous avez bonne mémoire (et que vous êtes un fidèle lecteur) vous vous souvenez sûrement que ceci est mon tapis, recyclé pour l'instant en coussin pour le Minou, qui adore s'y installer pour la nuit !


13. Open : d'accord alors là même moi j'ai du mal à capter comment j'ai pu
à ce point déformer le thème de ce 13 juillet pour l'adapter
à mon obsession félinesque...


14. Building : souvenir de ma première journée de déambulation dans
Paris avec Cornélius, Notre-Dame forever...


sur mon addiction au sucre pour la première fois...


16. Sign : ouais ben finalement je suis peut-être pas
un si bon porte-bonheur que ça >.>


17. Your addiction : ah ouais là c'est quand j'ai officiellement déclaré
que j'avais carrément un gros problème avec le chocolat.


18. Plate : je le répète, elle est plate (D'abord U.u)


19. Animal/insect/pet : hmmm, maintenant que j'y resonge c'est vrai qu'elle a un peu de ces trois catégories...


20. Eyes : non, c'est sûr, jamais je ne me lasserai du regard
de Cornélius...


21. 9 o'clock : on entre dans la période de relâchement phototesque.
Et celle-là c'est juste parce que j'adore les montres, parce qu'en vérité il se passe jamais rien d'intéressant à 9h00 dans ma vie, en général je commence à bosser (et le week-end c'est plus ou moins l'heure où je me recouche après avoir nourri le Minou).


22. Upside down : magnifique photo je trouve, moi aussi je voudrais
m'envoyer en l'air et tourner encore et encore dans des manèges...
(si vous n'êtes jamais allés à EuropaPark vous ne pouvez pas comprendre.
Et si vous êtes dans ce cas, soi-dit en passant, je vous plains parce qu'EuropaPark c'est vraiment trop de la balle !)


23. Mirror : juste parce que j'ai a-do-ré ce film, Julia Roberts est juste... AWESOME !


24. A stranger : je dirais même plus ! TWO strangers ! (en vrai, pour ceux qui vivaient un suspense intenable depuis ce jour, c'est ni plus ni moins que Cornélius et moi sur cette photo, prise juste après celle de Notre-Dame, par ailleurs)


25. Heart : ... of my life.


26. Sunshine : or not. Y'a des jours avec et des jours sans !


27. On the road : mon prochain road trip approche ! Et même si ça sera court et que je ne risque pas de bronzer en même temps puisque je serai au volant, bon dieu que j'ai hââââte !


28. Cup : j'aurais bien voulu vous en montrer une autre de ma collection mais bon, on a dit résumé alors... Et puis l'occasion se représentera probablement ^^


29. Last thing you bought : j'ai bien peur que ce soit ça, ou quelque chose
de plus ou moins équivalent (à savoir glacé, extrêmement bon et doublement extrêmement calorique). Régdéprime : J-13 !


30. Calm : tout est dit (et vous avez vu : j'ai presque le même
accroché au-dessus de mon lit, hahaha)


31. Toothbrush : au fond c'est un peu à ça qu'on pourrait résumer
la vie de couple, non ? (matte ça, écolo jusqu'au verre à brosse à dents !
- en vrai ça vient de Rock en Seine...)


Voilà, 31 photos, un mois déjà de passé avec vous ! Enfin presque, on va pas chipoter pour trois jours quand même. Si tu es arrivé au bout de ce long article pictural, félicitations cher lecteur, tu as visité une bonne partie de mon studio mine de rien. Je ne sais pas encore si je retenterai l'expérience le mois prochain, je verrai demain en fonction des thèmes proposés pour le mois d'août... J'avoue que c'est assez amusant et ça donne des idées d'illustration pour ses billets quand on n'en a pas forcément, mais d'un autre côté ça peut se révéler assez contraignant...
Qu'en pensez-vous ? Tentés de me suivre (comme pour la Radio de l'Eté des Blogueurs, aha !) sur votre blog ou pas ? Avantages, inconvénients ?
Toujours est-il que depuis un mois je pense que ce blog a réussi à m'apaiser, et peut-être me réconcilier avec l'écriture aussi, mais je ferai bientôt un billet à ce sujet pour me révéler un peu plus à toi, cher lecteur (pas de photo de nu à prévoir pour l'instant, ni seins ni fesses à l'horizon mais qui sait...). Mon objectif (un peu fou je 'lavoue) : atteindre les 2000 visites d'ici vendredi, pour marquer le 1er mois de renouveau de mon blog. Il m'en manque 340, si vous avez toujours eu envie de partager mon blog c'est le bon moment, n'en doutez point.



lundi 30 juillet 2012

Les tribulations du lundi - Radio de l'été des Blogueurs inside


Aujourd'hui, Keep Calm powa (ce qui tombe bien puisque c'est aussi le sujet de la photo du jour, que j'ai un peu délaissée ces derniers jours, je l'avoue. Mais demain je vais tenter l'article sum up de touuuutes les photos du jour de Juillet, be ready !). Je me sens moooolle depuis ce matin, mais molle ! Si j'ai râlé en entendant le réveil sonner, j'ai aussi esquissé un sourire à la pensée d'entamer cette semaine avec la perspective : vendredi je pars en week-end. Mes mini-vacances approchent, enfin ! Je commence à réfléchir aux préparatifs, à quand je vais bien pouvoir faire le ménage puisqu'on part vendredi après-midi, aux affaires à emmener, à la cafetière qu'il ne faut pas oublier pour pouvoir l'échanger, aux billets de concert pour dimanche à ne pas oublier, et est-ce qu'il faut faire les courses encore avant vendredi ou bien reste-t-il assez de denrées, ... Bref, je m'affaire, je liste (j'adore les listes) et surtout je trépigne !
Le dimanche a été plutôt calme : Cornélius et moi nous sommes affalés devant une série en finissant le dééééélicieux gâteau que j'avais concocté pour le dîner de samedi soir (chez ma collègue et son compagnon, remember ?) et nous nous sommes commandé des pizzas le soir en découvrant, avec une surprise mais aussi réjouis que le fut Bâtonnet de Poisson, une énième diffusion du Journal de Bridget Jones, que j'adule, vous vous en doutez. Ce fut donc un double bonheur : ma première commande à domicile depuis que j'habite à Paris (j'avais toujours rêvé de faire ça, farfouiller dans mes prospectus et passer commande comme dans les séries américaines, être livrée directement à domicile et boulotter mon chinois - bon c'était des pizzas mais whatever - devant une comédie romantique, telle la Carrie Bradshaw parisienne que je suis trop pas) et un de mes films préférés, le must.
Lundi mou donc, mais j'ai tout de même réussi à dénicher quelques perles de la blogosphère que je vous fais bien sûr partager : Au Fil d'Isa, Les Georginettes et Calipso ont toutes titillé mon envie de shopping en exhibant leurs jolies jupes, leurs petits pulls et en déversant allègrement des liens hautement dangereux pour mon porte-monnaie dans l'atmosphère. C'est ainsi que j'ai bavé sur les chaussures originales d'Irregular Choice (England Addict inside), les petites robes de Nasty Gal ou les accessoires de geek de Jinx. Je vous préviens, je renie toute responsabilité en cas d'achat compulsif après lecture de cet article.

Et pour bien commencer la semaine, j'ai décidé de me joindre aux joyeux gugusses organisateurs de la Radio de l'été des Blogueurs, idée que j'ai trouvée super chouette et qui m'a tout de suite emballée. Suivre la blogosphère en musique, à Paris ou en Province, en vacances ou au bureau ? OH OUI ! Donc si toi aussi tu t'ennuies et as envie de participer, voilà les règles du jeu :

  • Tu choisis ta chanson de l'été (ça peut être une chanson que tu écoute en ce moment, un groupe qui joue du coté de chez toi, ou une chanson qui a accompagné un de tes étés précédents)
  • Tu fais un beau billet sur ton blog
  • Un lien vers ta chanson de l'été (ou une vidéo youtube de la chanson)
  • Une copie de la règle du jeu
  • Un lien sur ce billet pour retrouver ta participation
  • Une liste de deux ou trois blogueurs que tu souhaites tagger dans cette chaine pour qu'a leur tour il nous proposent leur chanson de l'été.
Tu pourras ensuite écouter la radio des blogueurs :

Donc comme je suis sûre  que l'idée va emballer d'autres que moi et que je vais cro me faire des keupines, je vais entraîner dans ma zoublime aventure Mademoiz'Ëlle, qui aura de quoi s'occuper quand son chéri sera parti, et histoire de former le club des (futurs) coeurs brisés je vais rajouter Bâtonnet de Poisson.
En ce qui me concerne, je crois que la chanson vraiment symbolique de mon été, été marqué par la présence de Cornélius à mes côtés et beaucoup trop court (on ne pleure pas, on ne pleure pas), sera Summer Paradise de Simple Plan (attention la version originale hein, pas l'immonde traduction française !), à écouter et réécouter encore, même si je vous l'ai déjà serinée à toutes les sauces.

A vos écouteurs !

 




samedi 28 juillet 2012

A Cup of Tea ?

(My CUP of Tea du jour. Iced tea, plus précisément.
Jolie hein ? Ai-je mentionné que j'adooooore
les tasses en tous genres ?)

Ce début de week-end ensoleillé s'est passé en cuisines, pour moi : invitée ce soir chez ma chère collègue et son compagnon, j'ai concocté un délicieux gâteau au chocolat avec glaçage au chocolat et tant que j'y étais, une salade de pommes de terre selon la recette ancestrale de ma grand-mère. Puis Cornélius et moi avons passé le reste de l'après-midi à lire en buvant du thé glacé made home dans ces sublimes tasses que j'ai choisies comme photo du jour. J'ai en effet une passion dévorante pour les tasses, bols et autres mugs - qui nuit quelque peu au bien-être de ma cuisine et occupe la moitié des placards, il faut bien le dire.

L'après-midi d'hier était plutôt sympa même si, comme par hasard, le soleil avait décidé de se planquer derrière d'épais nuages juste pour l'occasion. Il y a eu deux-trois averses mais les températures n'ont pas baissé et ce n'était donc pas gênant. J'étais néanmoins déçue de ne pas avoir pu bronzer, je l'avoue. La taille de la piscine aussi m'a un peu déçue : si l'extérieur et les jardins était sympa (ainsi que le bassin spa, où nous avons passé bien 3h à larver, immobilisés par la chaleur de l'eau : c'est sûrement ce qui m'a le plus détendue) nous n'avons pas pu en profiter à sa juste valeur du fait de l'absence du soleil brûlant et cuisant dont je rêvais, et du coup l'eau paraissait froide. Nous aurions bien voulu nager mais malheureusement le bassin sportif était interdit à tout non-porteur de bonnet de bain (personnellement je me fais un devoir de ne pas recouvrir mon crâne de cet espèce de capote pour cheveux qui t'en arrache une bonne moitié et te laisse une trace sur le front totalement ridicule tellement c'est serré. En plus au moindre mouvement la chose glisse et s'en va gîre des mètres plus loin, attirant le regard perçant du maître nageur qui s'empresse de siffler à qui mieux-mieux jusqu'à ce que tu percutes enfin que oui, c'est à toi que le bruit strident s'adressait. Bref, le bonnet de bain, c'est pas pour moi, question de principe) et le reste des bassins était envahi par des petits êtres nuisibles appelés enfants, souvent mal-polis (un groupe nous a quand même fait la réflexion qui m'a hautement choquée que nous pourrions "nous trouver une chambre" et qu'il y avait "des enfants ici" alors que nous nous embrassions) qui coupaient court à toute vélléité de natation dans les autres bassins.
A part ça je suis sortie revigorée de mon après-midi et indéniablement plus détendue. Mais pas plus bronzée. Damned. Le Centre Aquatique de Neuilly-sur-Seine reste toutefois un lieu agréable, idéal pour passer une journée à farnienter en faisant des ploufs de temps en temps dans le bassin extérieur muni de sièges à bulles très sympas.

Sur ce je vous laisse, je m'en vais me manucurer (malgré mes doigts entièrement superglués après une tentative de recollage des semelles d'une paire de mes chaussures : quand on n'a qu'un salaire de stagiaire et qu'on ne peut pas se permettre de faire les soldes, voilà à quoi on en est réduits) et épiler les sourcils de Cornélius, qui ne se doute pas encore de ce qui l'attend... *rire machiavélique*
Et vous, que faites-vous de votre week-end ?


vendredi 27 juillet 2012

Après la pluie, le beau temps !

 (Pile poil mon état d'esprit de cette semaine)

Ma baisse de moral d'hier a vite disparu après une soirée parfaite passée à m'occuper de moua et uniquement mouaaaa. Pile poil ce dont j'avais besoin. Cornélius avait un pique-nique chez un ami et avant d'y aller il a lavé le linge, fait l'intégralité de la vaisselle et du ménage et téléchargé les épisodes de mes séries préférées, pour que je n'aie qu'à m'allonger sur le canapé en rentrant. J'ai donc passé la soirée à m'épiler, à refaire ma manucure et à rattraper mes épisodes en retard de Pretty Little Liars et Teen Wolf en avalant des litres de glace. La soirée parfaite. Ce matin je me suis réveillée en forme, reposée, relaxée et avec la perspective de passer l'après-midi au centre aquatique de Neuilly-sur-Seine, allongée sur un relax au bord de l'eau avec la délicieuse possibilité de pouvoir piquer une tête dès que l'envie m'en prendra... Comment mieux commencer un week-end ?

Et c'est bien connu, on a toujours plus à dire quand on déprime que quand on va bien. Je vais donc me contenter de piétiner d'impatience en attendant mon après-midi dans ce lieu que je m'imagine comme un petit îlot de vacances, l'espace d'un après-midi, en pleine Île-de-France - et que j'idéalise sûrement complètement d'ailleurs, je vous dirai à quoi ça ressemble en vrai demain, mais pour le prix d'entrée ça a intérêt à être mieux qu'une banale piscine municipale. Sur le site c'est bien écrit "bassin extérieur avec plage artificielle", je veux voir de la plage artificielle moi, toute artificielle qu'elle soit !
Pour ceux qui n'ont pas la chance d'avoir un tel endroit à proximité, je vous fais partager mes récentes découvertes bloguesques si jamais vous cherchez de quoi vous occuper :

* Tout d'abord j'ai eu un gros coup de foudre BDesque pour Lili Aime le Nougat, une jeune illustratrice à laquelle je me suis totalement identifiée. Ses dessins, s'ils ont l'air d'être souvent accusés d'être une pâle copie de Pénélope Bagieu (d'ailleurs c'est exactement ce que m'a dit Cornélius lorsque je lui ai fait partager mon enthousiasme. L'ignare), valent vraiment le détour. Moi je trouve qu'elle a son originalité, et puis si on devait lister tous les illustrateurs du style de Lili et de Pénélope la liste serait longue ! Les histoires sont différentes, l'humour aussi, bref j'ai adoré (d'ailleurs mes illustrations du billet d'aujourd'hui viennent de chez elle ! De quoi vous convaincre d'aller y faire un tour j'espère ?)
* Toujours dans l'esprit blog BD, j'ai suivi les recommandations de Lili jusqu'au Fil d'Elene, aux illustrations d'un genre différent mais qui m'ont bien faites rires également. Je vous conseille donc de passer la bobine (hahaha) par la porte de son blog !
* Dans un genre totalement différent, j'ai dévoré Un Célibat Au Goût de Nutella, probablement à cause du titre, j'ai ri, je me suis beaucoup interrogée (après avoir longtemps été dans le même camp qu'elle, à savoir celui des célibataires, lire ce genre de propos en couple m'a fait... très bizarre), bref ses articles se dégustent volontiers par un chaud après-midi d'été !
* Pendant ma pause café j'ai fait un petit tour chez Mademoiz'Ëlle,  qui m'a faite beaucoup rire parfois, m'a également beaucoup émue, et j'étais très jalouse de son swap ! Moi aussi je veux swaper ! (ça va devenir ma nouvelle obsession je le sens). En tous cas je vous conseille d'aller jeter une mirette chez elle sans plus tarder.
* Enfin, j'ai fini l'après-midi Chez AnneLaureT, particulièrement attirée par ses concepts de "Mercredi Gourmand" et "Photo du Mois". J'ai trouvé des recettes sympas, des jolies photos, des articles pleins d'émotions... Je ne peux qu'aimer.

Voilà, bon début de week-end à tous, en vacances ou pas, en ce qui me concerne :


Enfin sauf peut-être cet après-midi ^^ Promis je vous raconte tout demain.


jeudi 26 juillet 2012

Coup de blues #1

 (Today, ain't no sunshine in my heart...)

Aujourd'hui je n'ai juste pas le moral. Je me sens triste, mal dans ma peau, levée du mauvais pied... Et à quoi bon en parler, pour entendre des choses que je sais déjà : "mais tu as aucune raison de déprimer, tu as ton chéri avec toi, tu es à Paris, tu as eu le chat que tu voulais, tu vas à un concert le week-end prochain, que demander de plus ?"
Je sais bien tout ça, seulement parfois l'affectif est plus puissant que le mental, c'est tout, c'est comme ça. Ma mère part en vacances aujourd'hui, seule, en Tunisie, pendant une semaine. Moi je donnerais tout pour partir, même seule, et elle donnerait tout pour ne pas être seule. La dernière fois que nous sommes parties c'était à deux, en Egypte, il y a deux ans de cela, et nous avons toujours voulu réitérer cette expérience mère/fille depuis sans jamais en avoir l'opportunité. Et maintenant elle part et je ne peux pas l'accompagner. Je sais, c'est idiot, enfantin, irréfléchi comme réflexion, mais j'en ai les larmes aux yeux quand même. J'ai toujours été une fille du soleil, il n'y a qu'en été et au bord de la mer - ou au moins d'une piscine - que je me sens vraiment bien. Le froid, le nord, le mauvais temps, tout ça me met le moral dans les talons. Vous allez me dire "mais de quoi te plains-tu, il fait beau depuis une semaine !", youhou, une semaine sur tout un été, mais que demande le peuple ? Et il y a toujours le rythme métro-boulot-dodo, il y a toujours les souvenirs des étés dans la maison familiale passés à dévorer des bouquins au soleil et à siroter des milk-shakes... Une période qui me manque plus que je n'ai bien voulu m'en apercevoir jusqu'ici. Les repas familiaux autour de la grande table dans le jardin, les petit-déjeuners avec ma mère en parlant du programme de la journée, les après-midis en maillot de bain au bord de la piscine, les virées shopping, autant de souvenirs qui semblent provenir d'un autre monde, d'une autre galaxie, d'une autre vie. Maintenant la famille est brisée, la grande maison familiale désertée. Je suis seule à Paris, ma mère seule à Strasbourg, mon père seul dans cette maison vide, mon frère et ma soeur oscillent entre ces différents lieux... Mon grand-père qui labourait les fraises dans le jardin est parti, définitivement. Ma grand-mère ne sera plus jamais la même. Je ne revivrai plus jamais ces doux étés à tout faire, ne rien faire, ne penser à rien, juste se laisser porter par la douce torpeur du soleil... 
Comment compenser ça ? Comment se persuader d'être heureux ? Et si on simulait le bonheur comme un orgasme trop long à venir en permanence ? Qu'est-ce que c'est vraiment, le bonheur : quelqu'un peut-il vraiment le dire ? Moi je ne suis pas sûre de pouvoir. Et si en me disant "heureuse" je calquais seulement ce mot sur une émotion qui n'a rien à voir ? Comment percevoir le bonheur ? Comment peut-on pleurer quand on a, en principe, tous les ingrédients pour être heureux ? Je ne suis peut-être qu'une petite fille trop gâtée, trop choyée. Je ne suis peut-être qu'une éternelle insatisfaite, une droguée de la perfection pour tout, y compris le bonheur. J'en veux toujours plus, je veux toujours mieux que ce que j'ai déjà pu connaître par le passé. Comment de petites émotions fugaces peuvent-elles suffire à m'ébranler et me tirer des larmes, moi qui me targue d'être une femme si forte ? Je me sens ridicule. Ridicule d'être jalouse de ceux qui partent au soleil. Ridicule d'être jalouse de ceux qui ont un chat qui dort quand il doit dormir, qui fait ses besoins là où il doit les faire et réclame des câlins en permanence. Moi tout ce que j'ai c'est un rouleau de sopalin vidé à une vitesse fulgurante et des griffures sur tout le corps. J'ai envie d'ailleurs, envie d'autrement. Envie de connaître le bonheur, comme une personne à qui on serrerait la main en détaillant son visage, comme pour l'apprendre par coeur, à la première rencontre. J'aimerais être quelqu'un d'autre, une personne simple, qui peut se contenter de ce qu'elle a sans chercher plus loin. J'aimerais avoir du temps pour me poser, me ressourcer, me reposer, faire ce que j'aime, au lieu de courir partout toute la semaine, en permanence, et de m'enfermer dans les toilettes la journée pour pleurer jusqu'à ce que je n'en puisse plus et sortir comme si de rien n'était, en affichant un sourire qui sonne faux mais que personne ne remarquera. Je voudrais de la tendresse, de l'amour. De la solitude aussi. Je voudrais arriver à m'accepter comme je suis, arrêter de me trouver grosse, laide, obèse même. Arrêter de voir dans le miroir quelqu'un que je ne suis pas. Arrêter de courir après quelqu'un que je ne serai jamais. Je voudrais m'accepter, accepter la vie que j'ai et m'en contenter, sans chercher toujours ce "petit plus" dont, qui sait, je n'ai peut-être même pas besoin au final ? Je voudrais arrêter d'être bourrée de contradictions. Je voudrais juste m'échapper...




mercredi 25 juillet 2012

Mots d'Amour, Ou votre dose de mièvrerie du jour

(Si si, c'est la photo du jour.
He's my HEART, after all)

Au fil de mes errances bloguesques, j'ai fait de jolies découvertes. Après avoir entrouvert la porte de l'univers de Caroline (qui est un peu devenu mon modèle sur terre, faut quand même le dire, elle a gravement la vie que je rêverais avoir dans quelques années), j'ai plongé dans celui de Me and Myself, qui m'a apporté beaucoup de quiétude, de douceur, de rêverie... Bizarrement je commence à me sentir comme un maillon d'une chaîne, une part d'un tout, celui de la blogosphère, lorsque je m'aperçois que tout se recoupe : le blog de Caroline figure sur celui de Lôla Peste, qui figure lui-même sur celui de Me and Myself... Tout ça m'inspire énormément. Je tends vers le calme, le zen, la quiétude et la tranquillité en ce moment. J'ai envie d'émotions vraies, de bonheurs simples et d'éclats de rire. Aujourd'hui j'ai décidé de m'inspirer de l'article "De A à Z" de ce nouveau blog découvert hier pour vous dresser le portrait de Cornélius, mon Homme, celui qui partage mes jours et mes nuits, est à l'origine de mes rires et mes larmes, de mes joies et mes peurs, mon ami, mon âme soeur (et qui en bonus a grave la classe sur cette photo prise au parc dimanche dernier et qui, sur un fou rire, a été estampillée "photo de mannequin Calvin Klein").

A - Amoureux, parce que grâce à lui tous les matins au réveil je souris et me sens entourée d'amour.
B - Baiser, parce qu'il embrasse trop bien mon chéri (et vous auriez tort de ne pas interpréter ce mot de façon tordue)
C - Câlins, parce qu'il n'y a aucun endroit au monde où je suis mieux que dans ses bras (bon, à part peut-être une plage de sable fin surplombant l'océan, mais on peut pas tout avoir) - sinon j'avais aussi bien envie de dire croissants parce qu'un charmant collègue vient de ramener la tournée générale du p'tit dèj mais ça a pas grand chose à voir avec le sujet, tout bien réfléchi...
D - Délires, parce qu'on rit ensemble tous les jours et que ce sont tous nos délires qui pimentent nos journées
E - Enfant, parce que des fois c'est quand même encore un grand enfant et que si parfois ça m'exaspère ça a aussi le don de m'attendrir
F - Flemme, parce qu'à mon grand dam ça le caractérise quand même assez souvent et assez bien (là il va râler et dire que moi aussi, mais c'est faux : moi c'est que le week-end, Môssieur)
G - Généreux, parce qu'il ferait tout pour moi et que je sais que je passerai toujours avant tout et tout le monde, et c'est aussi pour ça que je l'aime (Ouais, j'aime être le centre du monde et je vous emmerde alors ?)
H - Heureux, parce qu'en plus de me dire tout le temps que je le rends heureux, il me rend heureuse aussi, et c'est quand même l'essentiel non ?
I - Immature, parfois, mais tous les hommes sont un peu comme ça  non ? (dites-moi oui, pitié)
J - Jaloux, et comme Me and Myself l'a souligné pour son Ours, Cornélius aussi va dire que ce n'est pas vrai mais l'histoire a prouvé que si (et j'avoue que ça ne me déplaît pas...)
K - Kitsch, parce qu'il assume totalement son côté féminin et kitsch (il regarde Gilmore Girls avec moi, mais chut, c'est un secret) et que j'aime ça
L - Lyrique, parce qu'il est capable de me déclamer des poèmes entiers de son cru et, sérieusement, qui ne se pâmerait pas d'admiration et d'amûûûr devant un truc pareil ?
M - Masculin, parce qu'en plus de son profil de mannequin il fait des pompes tous les matins au saut du lit et ça me donne juste envie de laisser parler la sauvage qui est en moi et lui sauter dessus
N - No-life de temps en temps, moins quand on est ensemble mais c'est quand même cette capacité à rester immobiles (mais pas tant que ça en fait) devant un écran pendant des heures qui nous a rapprochés, alors je vais pas râler
O - Orgueilleux de temps en temps aussi, comme moi tout mâle qui se respecte
P - Patient, je dirais même infiniment patient avec l'attachiante (copyright Lôla Peste) incorrigible que je suis
Q - Querelleur quand il s'y met, ce qui explique qu'on finisse invariablement par se rentrer dans le lard et se hurler dessus, même si ce n'est que pour mieux se rabibocher ensuite
R - Rêveur, parce que j'aime nos rêves et nos projets à deux et que je ne pourrais pas décemment supporter quelqu'un de trop terre-à-terre
S - Sauvage, surtout sous la couette...
T - Taquin (non je ne copie pas les réponses de Me and Myself, c'est pas de ma faute si nos hommes ont les mêmes caractéristiques !), parce qu'il adore me taquiner et abuser de ma naïveté et de ma crédulité - et en plus ça le fait beaucoup rire que je gobe tout ce qu'il dit
U - Unique, parce qu'il n'y en a pas deux comme lui et que je ne suis pas prête de le laisser filer !
V - Vacances, parce que mon obsession pour les vacances ne s'est pas tarie et que je rêve de vacances en amoureux à farnienter sous les cocotiers...
W - Week-end à deux, qui se rapproche ! J - 9 !
X - Oooooh oui, tous les jours et bien plus encore (mais vous n'en saurez pas plus, un peu de décence que diable)
Y - Yeux d'azur, dans lesquels je me plonge (sans nul besoin d'attendre qu'on me le conseille... ^^)
Z - Zénial, pour résumer ? (on rigole pas, c'est super dur de trouver un mot en Z >.<)


A votre tour, par blog ou commentaire, lâchez vous sur l'alphabet !

Nldr : sinon pour couper un peu tout ce miéllisme, j'ai découvert ce matin le blog Morningside in Paris, tenu par une amie de lycée qui se trouve par hasard être ma voisine à présent, et que je vous recommande chaudement : frais, doux, parfaite lecture pour une matinée d'été ensoleillée...

Ndlr 2 : je m'adresse à présent à mes lecteurs fantômes (je citerai par exemple ma chère collègue, Gaëtan ou encore Hély) : je sais que vous êtes là, je sais que vous me lisez, alors ne vous cachez plus ! Commentez, et faites tourner ce que vous aimez, les statistiques sont le clito des blogueuses, tout le monde le sait voyons U.u


mardi 24 juillet 2012

Envie d'Envies

 (Reprenons les bonnes habitudes.
Two STRANGERS, not that strangers - but very strange).

Aujourd'hui je n'ai pas grand chose à raconter. Pourtant je suis grande gueule, mais là pour une fois j'ai juste envie de ne rien dire. Envie de buller sur une plage au soleil, aussi, envie qui ne me quitte plus. Envie de me lover dans les bras de mon chéri. Envie de partir ailleurs, loiiiin, loin, très loin - et à défaut d'un océan turquoise, comme dit Lôla Peste, me noyer dans ses yeux (qu'il a fort beaux, n'est-ce pas). Peut-être comme une envie de m'auto-sponsoriser (en tout bien tout honneur), qui sait. Ou peut-être que c'est trop tôt. Envie de câliner le Minou, maintenant que c'est une grande fille qui fait ses nuits et tout comme y faut. Envie d'aller au ciné, au parc, envie de prendre l'air. Envie de parler à ma meilleure amie, qui n'est pas là, envie d'arrêter d'y penser sans y arriver... Envie de regarder des séries. Envie de me projeter. Envie d'écrire. Envie d'aimer. Envie de vivre, tout simplement.

Et vous, des petites envies qui volent au vent à faire partager ?


lundi 23 juillet 2012

Coup de gueule matinal, Ou comment se lever du bon pied un lundi matin...

Je n'ai pas donné de nouvelles de tout le week-end. C'est la première chose que m'ont dites les deux premières personnes à qui j'ai parlé ce matin (hormis Cornélius qui parvient toujours à me faire sourire en me disant dès que j'ai ouvert la mirette "tu es sublime"). Sus-nommées ma chère collègue, et ma mère. La première pour s'invectiver de cette absence d'articles deux jours durant (shame on me) et la deuxième pour lister tous les scénarios catastrophes qu'elle a envisagés en voyant que je n'ai pas répondu au téléphone pendant deux jours (comment osai-je !). Et je ne l'évitais même pas, en plus. J'avais juste envie de faire un peu semblant d'être en vacances. Parce que oui, GROS COUP DE GUEULE pour tous ces c*nnards vacanciers heureux, détendus et bronzés ou pire, futurs sal*pards vacanciers qui t'annoncent, tout guillerets, "je pars à Monastir la semaine prochaine !", "Et moi je passe le week-end sur la Côte d'Azur !", etc (et je vais en profiter par la truchement de l'inadvertance pour vérifier la théorie de Tindomerel sur les articles "coup de gueule"... *sort son calepin spécial Etudes Ethnologiques*). Autant vous dire que le prochain qui se ramène avec une annonce de ce genre, j'ai comme l'impression qu'il va se retrouver la tête emplafonnée dans son clavier, ma main de furie sur le coup lui enfonçant le visage dans les touches jusqu'à ce qu'elles volent autour de sa tête comme des mouches autour d'un pot de miel. Parce que moi il me reste encore cinq semaines à tirer avant de pouvoir faire semblant de me reposer une petite dizaine de jours, en Alsace. Oui, vous avez bien entendu, là où le taux de pluviométrie approche celui du nord de l'Angleterre.

D'un autre côté j'ai passé un assez bon week-end. Comme je sais que vous brûlez tous d'impatience je m'en vais vous faire un résumé détaillé de la chose (je ne cesse de me faire alpaguer par le quidam en manque d'article, cette nouvelle célébrité improbable me rend toute chose dites donc !). En sortant du boulot, vendredi donc, Cornélius nous rejoint, moi et ma chère collègue, un bandeau dans les mains. A vrai dire, une grosse écharpe qui a manqué de m'arracher l'oeil les dix secondes où je l'ai portée nouée autour de la tête, mais passons. J'ai réussi tout de même à le convaincre de me laisser garder les yeux ouverts dans le métro, je crois qu'il avait sincèrement peur que je me tue par chute talonnesque vu les aiguilles sur lesquelles j'étais perchée... Mais une fois sortis du métro, station Quai de la Gare comme je l'ai appris plus tard, il m'a interdit d'ouvrir les yeux jusqu'à nouvel ordre, expérience traumatisante et terrifiante à souhait qui a changé à jamais mon regard sur les aveugles. Je vous jure, c'est HORRIBLE de rien voir. Horrible. J'avais l'impression que le monde extérieur n'était qu'une jungle menaçante peuplée de tigres, de sauterelles et autres bêtes féroces. Toujours est-il qu'après environ une demi-heure, dirais-je, de ce traitement de choc, on a fini par arriver et j'ai pu ouvrir les yeux, pour découvrir qu'il m'avait conduite sur la Passerelle Simone de Beauvoir, un des endroits les plus romantiques de Paris.

Alors ça en jette hein ?

Nous étions donc là. Ensuite on a continué notre bonhomme de chemin vers le Parc de Bercy, où on s'est un peu posés et où il m'a offert un magnifique marque-page argenté avec une pierre violette (oui, je suis une grosse fan de bouquins alors forcément..) Puis après avoir tenté de me perdre, ce qui n'est pas très dur vu mon sens de l'orientation, il m'a emmenée manger au restaurant de la Cinémathèque de Paris, juste à côté du Parc, où il avait réservé une table romantique où j'ai pu m'affaler dans un gros fauteuil en velours moelleux et déguster un tartare bien saignant (cannibale inside). On a fini la journée dans le Parc des Vosges, autre endroit trop romantique qu'il m'a fait découvrir, allongés dans l'herbe jusqu'à ce que pluie s'ensuive et pour finir on est passés acheter de quoi cuisiner japonais pour terminer la soirée avec des makis, lovés sur le canapés, devant deux films loués grâce à la TV d'Orange (c'est quand même formidable ce truc... Si jamais vous avez envie de me sponsoriser Orange hein, no prob !). Ah et j'ai même eu une rose, c'est-y-pas-mignon !

Le samedi a été un peu moins mignon, le temps n'était pas au beau fixe, journée orageuse tant entre nous qu'à l'extérieur... On est quand même allés se balader à Montmartre puis du côté des Grands Boulevards mais sans grande conviction. Et enfin hier on a passé la journée à se dorer la pilule au Parc Montsouris, juste à côté de chez moi, où on a fait un pique-nique gargantuesque. Allongée dans l'herbe en maillot de bain, je me sentais presque en vacances... Ce qui explique cette envie subite de me couper de toute civilisation, dont mon blog a pâti autant que ma mère puisqu'elle a essayé de m'appeler un nombre inconsidéré de fois. Ce matin, quand j'ai enfin réussi à l'avoir au bout du fil, elle a hurlé que j'étais folle de pas lui avoir donné de nouvelles, que quelque chose aurait pu m'arriver, qu'elle aurait même pas eu de clé pour rentrer chez moi (alors qu'on vit quand même à 500 km de distance...)

Toujours est-il que j'ai passé une très mauvaise nuit, le Minou (qui est propre depuis que j'ai condamné l'accès à sous-le-lit, hormis deux légers incidents nocturnes) a décidé de faire la java toute la nuit et n'a pas du tout apprécié que Cornélius et moi l'éjections du lit pour avoir la paix. Ma migraine d'hier, que j'espérais envolée ce matin, n'a fait que s'accentuer et j'ai toujours la tête grosse comme une courgette trop mûre après m'être enfilé deux Dafalgans... En plus, que découvre-je en me vêtant au saut du lit, en plus de cette ribambelle de boutons sortis du vide intergalactique qui ont décidé de fleurir sur mon visage ? Une poussée d'eczéma virulente au possible sur mon bras gauche ! Le truc qui m'était pas arrivé depuis des années ! (Probablement parce qu'en principe, à cette période de l'année, je flotte dans l'eau salée 20h sur 24 et que l'eau de mer a des vertus curatives incontestables...) La journée s'annonce donc très fort. En plus de ça je me sens obésissime, va vraiment falloir que je fasse quelque chose parce que bientôt je ne passerai plus les portes. C'est décidé : dès que Cornélius est parti, je reprends le jogging et le régimage intensif ! Quitte à être déprimée, au moins faisons d'une pierre deux coups.

Ndlr : je me suis également relâchée niveau photos du jour mais je ferai un résumé complet du mois le 31. Et puis elles m'inspiraient pas terrible celles des trois derniers jours, faut dire ce qui est (désolée, FatMumSlim).
Ndlr 2 : sinon, si toi aussi tu es en manque de vacances et t'ennuies au boulot, fais comme moi, découvre le Joyeux Univers de la Blogosphère (Hex, poétesse à ses heures). Et pour me consoler d'avoir terminé le blog de Lôla Peste, je lis et envie désormais Caroline et ses Pensées de Ronde, qui me font également bien penser... Moi aussi je voudrais être blogueuse professionnelle ! Et journaliste ! Et intervieweuse ! Caroline, de moi ton apprentie fais, supplie je t'en !


vendredi 20 juillet 2012

Happy Birthday to Us

(Spéciale casse-dédi du jour : les beaux yeux de mon Namoureux.
Jalouses ?)


Aujourd'hui est un jour spécial, comme je vous l'avais déjà dit. Cornélius et moi sommes officiellement ensemble depuis trois mois (même si en vérité on flirte depuis bien plus longtemps et que ça ne fait qu'un mois qu'on s'est embrassés et touchés pour la première fois). C'est une date symbolique, dira-t-on, parce que quand on s'engage dans une relation à distance on a besoin de symboles pour tenir, d'images, de souvenirs. De choses auxquelles s'accrocher pour passer outre la distance, le manque, le chagrin, les quiproquos qui n'arrivent que lorsqu'on ne peut pas se parler en face, tous ces petits soucis du quotidien que ne connaissent que les partenaires à distance.

Même si trois mois c'est peu, cet anniversaire c'est le premier qu'on passe ensemble, et le prochain sera probablement celui de nos huit ou neuf mois. Et qui sait si on y arrivera seulement ? Parfois il faut juste savoir profiter de l'instant présent et ne pas penser au futur, ni au passé. Et c'est ce qu'on a bien l'intention de faire aujourd'hui.

Puisque notre plan plage/bronzette est tombé à l'eau pour cause d'eau qui tombe (hahaha que je suis drowle), Cornélius a décidé de me faire une surprise. Qui que quoi dont ou comment mais où est donc or ni car, ne me le demandez pas, je ne sais absolument RIEN. Et c'est pas souvent qu'il m'arrive d'avouer ce genre de trucs. J'ignore totalement ce qu'il complote depuis hier matin, il est plus mystérieux que la mystériosité ! Les seules instructions que j'ai eues, les voilà :

- Mettre un truc sexy (j'ai choisi une petite robe noire en velours, des bas noirs en résille à motifs et des talons en satin roses honteusement hauts)
- Le suivre les yeux fermés

J'ai quand même exigé d'avoir les yeux bandés dans un tissu fin et agréable, non mais faut quand même pas déconner, histoire de pouvoir respirer et ne pas finir toute gonflée, en sueur et bouffie, le maquillage totalement ruiné (j'ai quand même passé une heure dans la salle de bain ce matin alors merci...). J'ai également prévu la paire de ballerines au cas où mes talons m'emmèneraient m'échouer au fin fond d'un fossé ou dégringoler du haut d'une rame de métro - ce qui est malheureusement fortement plausible. Pour le reste, je vous en dirai des nouvelles demain !
Je sais, l'impatience est pesante. Tenez bon.